Déplacer ses œuvres d’art en toute sérénité, c’est possible !
Actualité du 25-10-2017
Ce n’est un secret pour personne : expédier un tableau, une sculpture ou un meuble ancien n’est pas une chose facile. Cela nécessite un soupçon de doigté, une louche de précision et une bonne dose de délicatesse. Que vous vous en occupiez vous-même ou que vous fassiez appel à des professionnels comme CAP Express, voici une recette infaillible pour déplacer (ou faire déplacer) vos œuvres d’art sans vous faire de cheveux blancs !
1. On proscrit les mains baladeuses
Tous les artistes, photographes, conservateurs, commissaires-priseurs, collectionneurs, galeristes, antiquaires ou chargés d’événementiel vous le diront : déplacer une œuvre d’art, ça n’est pas une sinécure et, tant que celle-ci n’est pas arrivée sans anicroche à destination, ils se font un sang d’encre. Il faut dire qu’avec un tel objet, par définition unique, l’erreur n’est pas permise. Certes, une sculpture cassée ou une peinture transpercée peut se restaurer ; il n’empêche qu’elle aura perdu la moitié (voire plus) de sa valeur et, cela, c’est irrémédiable. Alors, pour éviter accidents et crises de nerfs, on fait preuve d’une infinie précaution quand on manipule ses œuvres. La règle cardinale ? On ne bouge pas un tableau ou une sculpture d’une main, tout en téléphonant de l’autre !
2. On n’hésite pas à jouer du monte-charge
L’art de la miniature a beau exister depuis au moins 4 000 ans (merci les Egyptiens) ; soyons réalistes, la plupart des œuvres d’art sont lourdes, volumineuses et encombrantes et, sans matériel adéquat, ça peut être une gageure de les déplacer. Alors, pourquoi se priverait-on des monte-charges, chariots élévateurs, palans, transpalettes et autres élingues que la modernité nous a apportés ? Une année, chez CAP Express, nous n’avons pas hésité à utiliser un camion bras de grue pour sortir de sa tanière une sculpture qui ne passait pas par les escaliers !
3. On en met trois couches
En vérité, quand on déplace une œuvre, le moment le plus sensible, c’est le transport, au cours duquel il y aura forcément des chocs et des vibrations au potentiel délétère. Là encore, heureusement, on a inventé l’emballage et, comme c’était il y a plus d’un millier d’années, on a un certain retour d’expérience ! Pour les sculptures comme pour les tableaux, on est bien d’accord que le tonneau ne fera pas l’affaire ; en revanche, le tamponnage, c’est très bien. Le tamponnage, pour ceux qui ne le savent pas, c’est un emballage épaisseur triple qui résiste aux chocs, aux déformations, aux perforations et aux variations de température. On entoure d’abord l’objet d’une matière soyeuse, chimiquement neutre et non électrostatique, de type Tyvek, Mélinex ou Bondina. On ajoute ensuite une couche intermédiaire en mousse de polyéthylène ou en papier kraft à bulle (sans oublier les protège-coin pour les tableaux, miroirs et photographies sous verre). Enfin, on met le tout dans une caisse en bois ou un carton renforcé. Si nécessaire, ajoutez un calage interne et c’est parti !
4. On ose le taxi-colis
Et on s’évite des sueurs froides en pensant à tous ces livreurs peu scrupuleux que l’on voie sur Internet en train de jeter négligemment les colis par-dessus les clôtures. Chez CAP Express, on vous recommandera toujours l’acheminement de vos œuvres par transport dédié sans rupture de charge. Le principe ? On va dans vos locaux pour récupérer la peinture, la sculpture ou le meuble concerné ; le cas échéant, on l’emballe ; et, surtout, on le transporte directement à bon port. Les avantages ? Vous avez affaire à des chauffeurs et manutentionnaires de confiance, qui ont été soigneusement formés par nos soins au transport sensible. En plus, vous disposez d’un véhicule adapté et équipé des hayons, ridelles, sangles, cales et autres couvertures qui vont bien. Et, comme chacun sait, une œuvre bien arrimée, c’est autant de cheveux blancs en moins !
5. On se met d’équerre avec les douanes
Ça, c’est pour tous ceux qui souhaitent envoyer des objets d’art ou antiquités à l’étranger. Comme on peut s’en douter, l’Etat français ne les laisse pas filer comme ça. Certains présentent un intérêt pour notre patrimoine et, à ce titre, ils font l'objet d'une protection particulière. Pour la faire simple, tout va dépendre de votre œuvre. Si sa valeur et/ou son ancienneté sont inférieures aux seuils pré-définis, alors on peut lui faire quitter le territoire national et européen sans autorisation. Dans le cas contraire, elle est considérée comme un bien culturel et, avant de lui faire prendre l’air, il faut impérativement demander un certificat ou une licence au ministère de la Culture.
6. On assure
On a beau prendre toutes les précautions d’usage, respecter toutes les règles les plus strictes de manutention, recourir à un double équipage, s’arrêter sur des parkings sécurisés et prévoir un véhicule convoyeur ; mieux vaut se préparer au pire et s’assurer au maximum. Dans le cas d’une peinture, sculpture ou antiquité, le mieux, ça reste l’assurance ad valorem. Avec l’ad valorem, il n’y a pas de limitation de valeur contre le risque de perte ou de dommage et votre œuvre est couverte depuis le lieu de chargement jusqu’au lieu de livraison.
7. On appelle CAP Express !
Enfin, on fait appel à un transporteur de confiance comme CAP Express. Depuis plus de vingt ans que l’on pratique les livraisons sensibles, on a acquis une certaine expertise et on a mis sur pied une équipe expérimentée de chauffeurs et manutentionnaires professionnels. Surtout, on livre vos œuvres d’art par transport dédié, partout en France et en Europe, en seulement quelques heures. Que demander de plus ?
Vous avez un tableau, une sculpture, une antiquité à envoyer en France ou à l’international ? Contactez CAP Express au 01 43 18 28 38. Nous serons ravis de vous aider !